mercredi 25 mars 2015

Ma solution pour la mer de Chine

Personne n’est sans savoir que la Chine revendique les îles Senkaku, territoire Japonais, mais également toutes les îles qui sont proches de ses frontières. Dès lors, il n’est pas permis de douter quant au bien-fondé ou pas de ces revendications. Car l’empire du milieu ne s’appelle pas l’empire du milieu des mers ; il devrait rester au milieu des terres plutôt que d’aller embêter tous ces voisins dans des disputes prétentieuses.

 

Je m’intéresse dans cet article aux seules îles Senkaku : il faut en effet introduire la géopolitique de manière graduelle pour éviter de noyer le lecteur dans un flot d’informations. Et puis je ne sais pas où se trouvent les autres îles. 

 

Les îles Senkaku sont proches de Taiwan et pas trop loin du Japon. Elles sont loin de la Chine, qui les revendique tout de même avec l’argument spécieux qui dit que puisque Taiwan est une partie de la Chine, alors les Senkaku aussi sont une partie de la Chine. 

 

La solution de long terme a déjà été exposé dans ce blog : quand la Chine sera partitionnée, le débat sera clos : elle n’aura plus le pouvoir ni la volonté de disputer ce petit territoire.


La solution américaine n’est pas sans intérêt : en balançant une bombe nucléaire sur les îlots, le problème est résolu : la mer est à tout le monde (encore que cette vision puisse être erronée : Il y a fort à parier que la Chine ne tardera pas à construire des îles artificielles au milieu de nulle part pour agrandir son territoire : on est un patron ou on ne l’est pas).

 

La solution de la diplomatie ne tardera pas à voir le jour : un partenariat entre le Japon et Taiwan. Il y aurait en effet des réserves d’hydrocarbures près des Senkaku (c’est d’ailleurs depuis cette découverte que la Chine s’est réveillé pour dire : « c’est à moi »). Du coup, le profit devrait mettre les puissances avancées d’accord : d’ici 2030, le Japon aura amorcé une négociation secrète avec Taiwan pour que ce dernier commence à se faire entendre. Le Japon répondra : « OK, on veut bien faire un geste. On vous donne les trois quart du territoire (faut pas pousser), mais la moitié des ressources est à nous. » L’exploitation jointe commencera avant 2040.

 

La Chine, offusquée par un tel affront organisera des manifestations anti Japonaises comme elle l’a fait à l’automne 2012, mais à une autre échelle. Les excités vont commencer la destruction des entreprises Japonaises implantés en Chine et brûler les appareils photos. Après deux mois, le gouvernement essayera sincèrement de calmer les ardeurs, mais il sera trop tard : la communauté internationale enverra des casques bleus pour apaiser les tensions : second affront. 


La Chine sera touchée durablement. Et les Chinois ne pourront même plus faire de selfie. A part avec des IPhone. Sauf s’il apprennent que des composants Japonais y sont intégrés. CQFD.

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