dimanche 24 janvier 2010

En France : la troisième impression

Un dimanche après midi, c'est bien le seul moment où j'ai le temps de bafouiller un peu d'écriture sur ce blog délaissé... Vous remarquerez l'effort de style auquel je m'applique chaque fois, j'ai bien sur rempli mon cerveau avec trop de bière et mon estomac avec trop de kanji pour me rappeler correctement du nom précis de ces outils d'écriture, mais sans arrêter de m'essayer à les immortaliser ayant un jour compris que c'est entreprenant qu'on réussit, alors, oui ! si la forme vous déplait, n'en vous déplaise je continue !

"Y'a des routes,... OK?" l'affreux ! la canaille, le sans vergogne ! Le parisien dans toutes son agressivité futile et sans fondement ! J'étais sur mon vélib, tranquille, sérieux, prudent et respectueux, sur le trottoir, bien sûr ! à contre sens sur le bitume, j'aurais été dangeureux alors que le macadame m'attendait comme un hôte : j'aurais même pu l'entendre... Quand soudain, le sous fifre probable d'une compagnie quelconque se cherche une prestance en m'harrangant de la sorte. Je n'ai pas bronché : soutenant son regard de la hauteur de ma monture, j'ai continué chemin ignorant le gueux et ses petites idées consciencieuses idiotes.

Il y aura par la suite quelques posts d'impressions suite à mon escale à Paris, car, sans aucun doute, il y a beaucoup à dire sur ce qui m'a manqué, à Tokyo, en France et sur la différence culturelle de mon point du vue partiel d'expatrié, cela va sans dire. Alors c'était un premier essai de traduction d'impression : les Français sont très aggressifs comparé aux Japonais, en tout cas, dans la vie de tous les jours, dans la rue ; cette aggressivité est la troisième chose qui m'a surpris durant ces 10 jours à Paris, le point ci dessus n'étant bien sûr qu'un exemple bien choisi illustrant mon propos, je pourrais en narrer d'autres.

Passez un bon dimanche, et ne buvez pas trop et sinon, rentrez en poney (comprenne qui voudra).

*** apparté ***

Quand je roule sur le trottoir ici, on se pousse pour me laisser passer et tout le monde fait ça, et pour tout le monde, car ces gens ont compris qu'on a quand même un risque minime de mourir écrasé par un vélo, alors que les voitures assassinent chaque jours. mais le piéton beaubeau parisien croit que le trottoir lui appartient, et il ne lâchera rien, mais moi, je me battrai et roulerai sur tous les trottoirs du monde pour faire changer les mentalités !

dimanche 17 janvier 2010

Soupir

En musique, un soupir est un silence entre deux notes. Et bien, ce poste est un soupir dans mon blog ; et ce silence est, comme toujours, le signe d'une activité continue, activité qui explique pourquoi aucun poste ne vient éclairer votre journée ces derniers temps.

La prochaine note est pour bientôt, en attendant, quelques photos de mon dernier passage dans la campagne Japonaise - rien de bien artistique cependant.

En vous souhaitant une bonne année, quelques rêves et assez de ce qu'il faut pour les réaliser.

vin's